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des actualites-articlePortée par les excentricités capillaires des nineties, la femme des années 2000 est bien décidée à en faire voir de toutes les couleurs (et de toutes les longueurs !) à sa chevelure. Pour satisfaire à ses envies toujours plus surprenantes, Jean Louis David réinvente son style rock d’une note punk. Zoom sur cette évolution marquante.
Les coiffures se la jouent encore plus rebelles…
Maintenant qu’elles ont pris le pouvoir sur leurs looks, les femmes se ne contentent plus de suivre les tendances : elles les créent. Elles veulent du court, des mélanges de longueurs et des coiffures dynamiques qui la libèrent d’un coiffage tiré à quatre épingles. Alors, leur coiffeur de toujours leur propose des coupes innovantes et des coiffages intrépides. À travers les looks de ses collections, Jean Louis David déploie les nombreuses possibilités du dégradé, revisite le traditionnel carré d’une mèche balayée et instaure le règne de l’effet coiffé-décoiffé. Les femmes s’inspirent du carré plongeant de Victoria Beckham, jalousent la coupe à moitié rasée de Rihanna et copient le style rétro glamour de Madonna. Leur coiffeur déstructure ses coupes à l’extrême et leur donne l’opportunité d’afficher des cheveux en pétard comme des boucles sexy. Et pour se donner encore plus style, la femme des années 2000 peut compter sur les produits de styling. Elle n’hésite pas à mettre la main dans le pot de gel ou de cire pour fixer des mouvements explosifs dans ses cheveux. Elle adopte ainsi le style punk rock des chanteurs stars de la décennie à l’image de Pink ou du leader du groupe Tokio Hotel.
… et la coloration s’autorise toutes les fantaisies
De la teinture noir corbeau d’Amy Lee – la chanteuse du groupe Evanescence – au blond peroxydé des starlettes comme Britney Spears, les femmes osent des colo au caractère bien tranché. Pas étonnant que le roux signe son grand retour à l’époque – y compris chez leur coiffeur. Incarnée à merveille par Dana Scully de la série X-files du petit écran, cette couleur flamboyante s’assume même en nuance rouge flashy sur les têtes des chanteuses de girls band. Comble de la rébellion capillaire, les années 2000 sont aussi celles des mèches très colorées. Roses façon Avril Lavigne, violettes à la Gwen Stefani ou noires sur blond comme Christina Aguilera : tout est permis alors Jean Louis David s’y essaie aussi dans un style plus couture.
Portée par les excentricités capillaires des nineties, la femme des années 2000 est bien décidée à en faire voir de toutes les couleurs (et de toutes les longueurs !) à sa chevelure. Pour satisfaire à ses envies toujours plus surprenantes, Jean Louis David réinvente son style rock d’une note punk. Zoom sur cette évolution marquante.
Les coiffures se la jouent encore plus rebelles…
Maintenant qu’elles ont pris le pouvoir sur leurs looks, les femmes se ne contentent plus de suivre les tendances : elles les créent. Elles veulent du court, des mélanges de longueurs et des coiffures dynamiques qui la libèrent d’un coiffage tiré à quatre épingles. Alors, leur coiffeur de toujours leur propose des coupes innovantes et des coiffages intrépides. À travers les looks de ses collections, Jean Louis David déploie les nombreuses possibilités du dégradé, revisite le traditionnel carré d’une mèche balayée et instaure le règne de l’effet coiffé-décoiffé. Les femmes s’inspirent du carré plongeant de Victoria Beckham, jalousent la coupe à moitié rasée de Rihanna et copient le style rétro glamour de Madonna. Leur coiffeur déstructure ses coupes à l’extrême et leur donne l’opportunité d’afficher des cheveux en pétard comme des boucles sexy. Et pour se donner encore plus style, la femme des années 2000 peut compter sur les produits de styling. Elle n’hésite pas à mettre la main dans le pot de gel ou de cire pour fixer des mouvements explosifs dans ses cheveux. Elle adopte ainsi le style punk rock des chanteurs stars de la décennie à l’image de Pink ou du leader du groupe Tokio Hotel.
… et la coloration s’autorise toutes les fantaisies
De la teinture noir corbeau d’Amy Lee – la chanteuse du groupe Evanescence – au blond peroxydé des starlettes comme Britney Spears, les femmes osent des colo au caractère bien tranché. Pas étonnant que le roux signe son grand retour à l’époque – y compris chez leur coiffeur. Incarnée à merveille par Dana Scully de la série X-files du petit écran, cette couleur flamboyante s’assume même en nuance rouge flashy sur les têtes des chanteuses de girls band. Comble de la rébellion capillaire, les années 2000 sont aussi celles des mèches très colorées. Roses façon Avril Lavigne, violettes à la Gwen Stefani ou noires sur blond comme Christina Aguilera : tout est permis alors Jean Louis David s’y essaie aussi dans un style plus couture.
Tous les ans, le Trophée du salon Jean Louis David récompense les coiffeurs qui illustrent à la perfection le savoir-faire et la qualité des services de la marque. À l’écoute de leur clientèle, les vainqueurs de l’édition 2017 ont su répondre au mieux à vos besoins en salon et se sont distingués par leur rigueur et leur respect du concept dans les moindres détails. Des qualités qui en font des franchisés exemplaires ! Cette année encore, c’est Gilles Bonnier, directeur de la franchise Jean Louis David, qui a eu l’honneur de féliciter le travail méticuleux des équipes en remettant ce prix prestigieux aux salons gagnants.
Salon Jean Louis David, Cours Saint-Louis, à Bordeaux (3330)
Thierry Brugalieres et Thierry Marionneau font partie de la famille Jean Louis David depuis 10 ans et ont choisi de rester fidèles à la marque pour ouvrir deux autres établissements afin d’être présents dans toute la ville bordelaise.
Devanture élégante, espace lumineux et équipement moderne : leur salon primé reflète parfaitement l’image de marque. Il a tout pour vous faire vivre l’expérience Jean Louis David !
Pour passer entre des mains expertes, rendez-vous sur la fiche du salon où vous trouverez toutes les informations pratiques pour organiser votre visite.
Salon Jean Louis David, rue nationale, à Lille (59800)
Sébastien et Séverine Looten forment un couple à la vie et un tandem professionnel depuis déjà 17 ans. Propriétaires de deux salons qu’ils gèrent dans le strict respect des valeurs de la marque, ils mettent un point d’honneur à vous faire vivre le rêve Jean Louis David et à vous garantir le meilleur résultat à la sortie du salon.
Pour découvrir l’offre des services coupes, colorations et soins disponibles dans leur salon récompensé, faites un tour sur la fiche de leur établissement de Lille.
Découvrez le portrait de ce couple de passionnés qui témoignent de leur savoir-faire.
Tous les ans, le Trophée du salon Jean Louis David récompense les coiffeurs qui illustrent à la perfection le savoir-faire et la qualité des services de la marque. À l’écoute de leur clientèle, les vainqueurs de l’édition 2017 ont su répondre au mieux à vos besoins en salon et se sont distingués par leur rigueur et leur respect du concept dans les moindres détails. Des qualités qui en font des franchisés exemplaires ! Cette année encore, c’est Gilles Bonnier, directeur de la franchise Jean Louis David, qui a eu l’honneur de féliciter le travail méticuleux des équipes en remettant ce prix prestigieux aux salons gagnants.
Salon Jean Louis David, Cours Saint-Louis, à Bordeaux (3330)
Thierry Brugalieres et Thierry Marionneau font partie de la famille Jean Louis David depuis 10 ans et ont choisi de rester fidèles à la marque pour ouvrir deux autres établissements afin d’être présents dans toute la ville bordelaise.
Devanture élégante, espace lumineux et équipement moderne : leur salon primé reflète parfaitement l’image de marque. Il a tout pour vous faire vivre l’expérience Jean Louis David !
Pour passer entre des mains expertes, rendez-vous sur la fiche du salon où vous trouverez toutes les informations pratiques pour organiser votre visite.
Salon Jean Louis David, rue nationale, à Lille (59800)
Sébastien et Séverine Looten forment un couple à la vie et un tandem professionnel depuis déjà 17 ans. Propriétaires de deux salons qu’ils gèrent dans le strict respect des valeurs de la marque, ils mettent un point d’honneur à vous faire vivre le rêve Jean Louis David et à vous garantir le meilleur résultat à la sortie du salon.
Pour découvrir l’offre des services coupes, colorations et soins disponibles dans leur salon récompensé, faites un tour sur la fiche de leur établissement de Lille.
Découvrez le portrait de ce couple de passionnés qui témoignent de leur savoir-faire.
Dans l’imaginaire collectif, la tondeuse est forcément associée aux cheveux des hommes ou au rasage. Chez Jean Louis David, elle sert aussi à couper les cheveux. Présentation de cet outil de coiffure.
Technique de coupe exclusive
En salons Jean Louis David, la tondeuse est utilisée pour couper les cheveux depuis le début des années 90. Jusque là, les ciseaux étaient le seul outil pour réaliser de jolies coupes de cheveux. » Mais à cette époque, les femmes ont commencé à travailler et avaient donc moins de temps à consacrer à leur coiffeur. Pour être efficace et rapide, Jean Louis David a donc misé sur la tondeuse qui permettait de travailler plus rapidement. Le succès a été immédiat ! » Cette technique, simple à apprendre, a alors été enseignée aux coiffeurs Jean Louis David avec une seule consigne : faire des coupes faciles à vivre et à coiffer chez soi.
La tondeuse, alliée d’une coupe réussie
La tondeuse n’a pas que la rapidité comme atout. Elle permet également de réaliser des coupes bien droites et parfaitement nettes. » On utilise la tondeuse avec un peigne. On glisse le peigne dans les cheveux jusqu’à la longueur souhaitée puis on coupe à la tondeuse tout ce qui dépasse du peigne. Cela donne des coupes très géométriques mais ça n’empêche pas au coiffeur d’être créatif. «
Mais l’utilisation de la tondeuse ne fait pas forcément l’unanimité…auprès des clientes ! » Elles sont nombreuses à avoir une peur farouche de la tondeuse. On essaie de les rassurer face à cet outil mais si elles ne se sentent vraiment pas à l’aise, on réalise bien évidemment la coupe aux ciseaux. » Le résultat ne diffère pas pour autant !
L’astuce du pro
Pour Jean Louis David, il n’y a pas un seul outil idéal. La tondeuse comme les ciseaux sont utilisés pour des coupes toujours parfaitement réalisées. En revanche, le rasoir est à éviter. » Personnellement, je trouve que c’est dépassé et que le cheveu n’est pas très joli ensuite. Mais c’est une question de point de vue. «
Notre histoire
« Être un actualiste qui prend plaisir à être le reflet de sa clientèle dans l’évolution de ses goûts et de ses désirs sous-jacents. » Voilà l’obsession de Jean Louis David. Ce véritable visionnaire de la coiffure ouvre son premier salon en 1961, avenue de Wagram à Paris et se fait rapidement une place dans la cour des grands. Un succès dû à ses techniques innovantes et à sa passion pour la beauté des femmes. Jean Louis David décide de faire de la coiffure un art qu’il réinvente perpétuellement au fil des saisons.
Après avoir assisté les plus grands photographes des années 60 – on pense notamment à Helmut Newton ou Herb Ritts – Jean Louis David décide de réaliser lui-même ses photos et vidéos dans les années 70, afin de proposer à une clientèle la plus large possible, des collections de coiffures dans lesquelles elle puisse se retrouver. À l’époque, c’était Jean Louis David en personne qui se chargeait d’humer l’air du temps ! Depuis son départ, une team artistique a pris le relais, reste à l’affût des dernières tendances et continue alors d’inventer des coupes, des couleurs, des coiffures pour le seul plaisir des femmes.
Jean Louis David s’est donc sans cesse renouvelé pour réinventer la beauté du cheveu. On lui doit notamment le fameux dégradé, réalisé pour la première fois en 1970, qui avait été créé pour libérer les femmes du carcan des coupes rigides. Aujourd’hui, la team artistique perpétue cette tradition et respecte cet héritage en proposant des coupes modernes et faciles à vivre, des couleurs naturelles et personnalisables à l’infini.
Fort de son succès médiatique mais aussi businessman averti, Jean Louis David a construit un véritable empire en développant des salons à son nom grâce au système de franchise. Pour lui, il » permet aux commerçants de profiter de la réputation d’un franchiseur et d’accéder à un ensemble de méthodes commerciales et/ou techniques spécialement développées pour ces franchisés. » Un pari réussi puisque son réseau s’est fortement élargi au fil des années. Aujourd’hui, on compte 1 000 salons Jean Louis David dans le monde. Il reste le premier réseau de coiffure européen et le numéro deux mondial.
Des équipes formées en permanence
Pour que les coiffeurs Jean Louis David soient toujours à la pointe des dernières tendances et techniques, Jean Louis David a fait de la formation une priorité. Dès la fin des années 70, il conçoit le vidéo-training pour apporter à ses coiffeurs la clé d’un savoir-faire unique et surtout identique dans tous les salons Jean Louis David.
Aujourd’hui, la transmission de ce savoir-faire a un espace dédié, le Training Center, rue Cambon à Paris où tous les coiffeurs du réseau viennent approfondir leur expertise, mais aussi apprendre les dernières tendances de coupe, les nouvelles techniques de coloration ou se familiariser avec les produits de la marque. Ce centre, qui s’étend sur 350 m2, propose une formation répartie en plusieurs niveaux : en modules basiques à l’attention des nouveaux venus, en stages thématiques pour les collaborateurs chevronnés et en stages collections pour les responsables des salons.
Une expérience unique en salon
L’univers des salons Jean Louis David
Des couleurs claires, modernes et attractives… Le design des salons Jean Louis David se veut contemporain et épuré. Des matériaux chaleureux, comme le bois, habillent le mobilier aux courbes arrondies pour donner une touche féminine.
L’ergonomie des fauteuils, l’éclairage ou encore la structure des coiffeuses ont été pensés dans un seul but : offrir un maximum de confort à sa clientèle.
Ce design perpétue l’atmosphère unique des salons Jean Louis David. Une atmosphère à l’équilibre parfait où l’élégance et la sobriété côtoient la modernité et la technicité.
La qualité du service Jean Louis David
Accueil, accompagnement, écoute… Tout est pensé pour qu’une visite chez Jean Louis David soit un moment de pure détente. Les coiffeurs se plient en quatre pour apporter une qualité de service irréprochable afin de faire vivre une expérience unique. Une attitude propre à Jean Louis David qui ne faiblit pas depuis la création des salons !
Un mot d’ordre : l’hyper personnalisation
Pour que chaque coupe soit unique, la visite en salon débute toujours par un échange individuel et personnalisé, appelé le « Moment Collection » : sélectionner ses coupes préférées dans les books exclusifs des salons Jean Louis David, en parler avec son coiffeur. Il verra alors ce qu’il est possible ou non de faire, en fonction de la nature de cheveux ou du style propre à chacun.
Et pour garantir une qualité irréprochable, les salons Jean Louis David travaillent exclusivement avec les produits L’Oréal Professionnel, Kérastase et Redken.
La formation continue
Le principe de formation continue est plus que jamais d’actualité chez Jean Louis David. La formation continue garantit une qualité de service et un savoir-faire technique propres à la marque Jean Louis David. Les collaborateurs issus de tous les salons du réseau viennent se former ou se perfectionner aux techniques de coupe et aux services techniques exclusifs tels que les Contrast, Sunlight, Gloss ou Couleur 2en1.
La formation est principalement réalisée au Training Center situé rue Cambon, à Paris mais aussi en province, dans les Studios Provalliance.
Le centre de formation de Paris accueille, sur ses 350 m², tous les collaborateurs du réseau plusieurs fois par an.
Organisée par niveaux afin d’apporter des réponses personnalisées à chacun, la formation Jean Louis David est répartie en modules basiques à l’attention des nouveaux venus, en stages thématiques pour les collaborateurs chevronnés et en stages collections pour les responsables des salons.
La formation professionnelle
Si la formation continue est indispensable pour évoluer tout au long de sa carrière, celle-ci ne peut se faire sans de solides bases.
Le Brevet Professionnel de coiffure est un diplôme d’État qui atteste l’acquisition d’une haute qualification dans l’exercice de cette activité professionnelle.
La formation CQP (Certificat de Qualification Professionnel) « Manager de salon de coiffure » est une certification officielle reconnue par la branche Coiffure et l’éducation nationale. Elle a été créée afin de développer ses capacités à exercer des activités professionnelles en Management, Gestion et Communication.
Depuis plusieurs années, Jean Louis David entretient un partenariat de qualité avec :
+ d’infos sur notre partenaire Provélite Académie – École privée de Coiffure sur http://www.provelite-academie.fr
Devenir modèle
Tout au long de l’année, nous recherchons des modèles pour accompagner nos formations. Vous serez pris en charge par des professionnels, encadrés par des formateurs et nous serons à l’écoute de vos envies.
Participation demandée : 7€ la Coupe et 8€ la Technique.
Devenez modèles lors de nos sessions de formation !!! Prenez rendez-vous dès maintenant !!!
Rendez-vous sur notre page Devenir Modèle pour trouver le Studio Jean Louis David le plus proche de chez vous.
Retrouvez également nos formateurs sur la Page Facebook du Training Center.
Comme chaque année, le Trophée du salon Jean Louis David récompense ceux qui mettent à l’honneur la marque, grâce à leur exigence et leur implication dans leur travail. En 2016, les vainqueurs se sont distingués par leur exemplarité, la qualité de leur service, le respect du concept et par conséquent, l’image de marque qu’ils diffusent. Un prix reçu des mains de Gilles Bonnier, directeur de la franchise Jean Louis David.
Salon Jean Louis David, boulevard Jean Jaurès, Nice (06 000)
Isabelle Orlando travaille pour la marque depuis plus de 20 ans. Son parcours exemplaire force l’admiration… Coiffeuse à ses débuts, elle est ensuite passée manager avant de devenir franchisée. En effet, en 2014, elle rachète le salon dans lequel elle travaillait. Ouvert depuis 1992, elle a su moderniser ce dernier pour répondre aux exigences de la clientèle.
Pour aller plus loin, découvrez la fiche du salon de coiffure niçois place Masséna d’Isabelle disponible sur notre site, avec toutes ses infos pratiques (adresse, numéro de téléphone, horaires d’ouverture).
Salon Jean Louis David, rue des Boulangers, Mulhouse (68 100)
Jean-Philippe Himber fait partie du groupe Provalliance depuis de nombreuses années. En 2013, il ouvre une franchise en plein coeur de Mulhouse en s’investissant totalement dans ce nouveau projet. Le résultat ? Un salon accueillant et moderne qui reflète parfaitement l’image de marque de Jean Louis David.
Pour vous rendre dans le salon de Jean-Philippe, rendez-vous sur sa fiche où vous trouverez toutes les informations nécessaires de votre coiffeur à Mulhouse .
Passionnée par le continent, Ondine Saglio est à la tête de la Compagnie du Sénégal et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO). Sa dernière actu ? Une collaboration avec la marque Sézane, dont certaines pièces se sont écoulées en quelques minutes. Rencontre avec une créatrice solaire et engagée.
Une tisseuse brodant « je t’aime » sur du tissu africain, le coin d’une rue de Gorée, un pêle-mêle d’imprimés colorés, quelques malles exposées dans sa galerie parisienne… Sur Instagram, Ondine partage son quotidien rythmé de voyages et de créations pour la CSAO. Des photos non retouchées (elle y tient beaucoup) qui donnent un aperçu de son univers créatif et coloré. De retour d’un séjour à Dakar, elle nous reçoit dans sa galerie, rue Elzévir, à Paris. À l’intérieur, des nattes habillent le sol, des fauteuils en perles côtoient des malles estampillées « Bon voyage », « Belle vie » ou « Amour », des coussins en wax (tissu africain) sont porteurs de messages positifs. Un univers propice à l’évasion.
La CSAO a été fondée en 1995 par votre mère, quand avez-vous rejoint l’aventure ?
Il y a eu deux périodes. À 24 ans, j’étais photographe, ma mère m’a demandé un coup de pouce et je l’ai rejointe pour créer de nouveaux produits. Une période intense (à cette époque la boutique était ouverte 7 jours sur 7 et je voyageais beaucoup) qui a duré 5 ans. Après cela, j’ai eu envie de partir, de prendre l’air et de refaire de la photo. Je me suis exilée 5 ans à New York. Lorsque je suis rentrée, j’ai rejoint la CSAO avec un rythme plus calme – mes enfants étaient petits – avant d’être de nouveau à fond depuis trois ans !
Vos coussins brodés font fureur…
Les premiers modèles étaient unis (bleu, jaune…) agrémentés d’une petite broderie. J’aimais l’idée de reprendre quelque chose de traditionnel (autrefois, Mon chéri, Ma chérie étaient brodés sur les oreillers qui faisaient partie du trousseau des jeunes mariés) mais l’idée n’était pas révolutionnaire. Un jour, j’ai pensé à le faire réaliser sur du wax avec un coussin fourré, donc non déhoussable. Il a tout de suite beaucoup plu.
Le modèle a-t-il évolué ?
Les premiers étaient uniquement en wax avec un mot. J’ai ensuite demandé à nos brodeuses (ces femmes travaillent depuis nos ateliers en Afrique) d’ajouter des broderies de plus en plus élaborées. Depuis un an, nous avons également de nouvelles versions avec des mots en lurex doré ou argenté.
Parlez-nous des brodeuses avec lesquelles vous travaillez ?
Notre but est d’aider des femmes africaines en difficulté en leur donnant un emploi stable et un bon salaire (elles gagnent autant que des gens qui ont fait 6-7 ans d’études). Les femmes postulent, font des essais, sont formées et se lancent une fois qu’elles sont prêtent. Elles s’éclatent et sont très fières de leurs créations. Aujourd’hui, elles sont presque 80. Ce sont mes héroïnes !
Vous leur laissez carte blanche ?
Tout dépend des coussins qu’elles ont à broder. D’une manière générale, j’ai toujours un oeil sur les créations, même si je les encourage à s’exprimer. Si nous collaborons avec une marque, tout est très cadré avec un croquis pour chaque coussin.
Coussins, vases, malles, assiettes… Vous glissez des mots d’amour partout !
Je trouve que ça fait du bien. Un monsieur m’a encore acheté récemment un coussin brodé « je t’aime » pour sa femme, j’apprécie beaucoup l’idée. Les vases, eux, sont des créations réalisées par des prisonniers qui tissent du plastique recyclé sur un support en verre. Nous avions déjà travaillé avec certains il y a dix ans, j’avais très envie de recommencer. Ces hommes, en prison, qui ajoutent les mots « amour », « paix »… Le symbole est fort.
Après la déco, la mode ?
Nous ne sommes pas assez nombreuses et le wax devient une denrée rare. Il y a 5 ou 10 ans, il y avait beaucoup de stock. Depuis la dernière usine au Sénégal a fermé au profit des tissus indiens et chinois de moins bonne qualité. De ce fait, nous nous limitons à des collaborations avec des marques de vêtements comme Sézane ou Côme, avec lesquelles nous avons travaillé sur quelques modèles.
Avez-vous d’autres collaborations à venir ?
Nous en avons quelques-unes. Une collection pour The Conran Shop, une pour Bonpoint prévue pour janvier 2017… Nous avons beaucoup de demandes mais nous ne pouvons pas tout réaliser pour l’instant. Petit à petit, l’oiseau fait son nid.
C’est votre mantra ?
C’est un proverbe africain que j’adore, avec Il faut croire en ses rêves.
Infos pratiques
Retrouvez toute l’actu de la CSAO sur l’Instagram d’Ondine.
À l’approche des trois ans de la marque, Diane, créatrice de Mademoiselle D, une ligne de vêtements vendus presque exclusivement sur Internet, nous raconte ses débuts, la conception des collections et sa façon de gérer tout ça.
Direction Le So, un restaurant recommandé par Diane dans le quartier de Sentier à Paris. Fauteuils et miroirs en osier, murs céruléen et lumière tamisée… un espace chaleureux, propice aux confidences.
Mademoiselle D, la marque de vêtement de Diane fêtera bientôt ses trois ans. Un rêve devenu réalité pour cette autodidacte amoureuse des tissus qui coud depuis ses 14 ans.
Racontez-nous la genèse de Mademoiselle D.
Il y a trois ans, j’ai recommencé à coudre parce que je ne trouvais pas mon bonheur dans les magasins. Puis, j’ai continué à créer des modèles pour mon entourage que j’ai posté sur les réseaux sociaux. Très vite, j’ai reçu des messages pour reproduire certaines pièces, mes premières commandes à honorer étaient là ! Ensuite, tout s’est enchaîné. Les neuf premiers mois ont été assez compliqués puisque je m’occupais du patronage, de la couture, de l’expédition des commandes, du service client… Mes semaines étaient très rythmées mais j’ai eu la chance d’être épaulée par mon mari ! Depuis je suis entourée d’une modéliste, de couturières, d’un photographe et d’une amie en charge du service
Le made in Paris est ambitieux…
Cela s’est fait tout naturellement. Quand au bout de quelques mois, j’ai commencé à crouler sous les commandes, j’ai dû trouver une solution pour les honorer : un atelier pas trop éloigné. Du coup, je contrôle toutes les étapes de la confections et surtout je travaille avec des artisans qui ont une sensibilité proche de la mienne et la même passion pour les belles finitions.
À quel rythme créez-vous ?
Je propose une collection par saison et des nouveautés tous les 15 jours. Le plus souvent ce sont des vêtements, chics et dans l’air du temps (blouses, robes…), mais cela peut-être aussi des chaussures, des sacs à main. Tout est en série limitée, donc il est très rare de croiser deux personnes portant la même tenue.
Vous êtes très présente sur Instagram avec 27k d’abonnés…
C’est avec ce réseau que tout a commencé ! Mademoiselle D est principalement distribuée en ligne, donc par la force des choses, mes clientes sont connectées. Du fait du nombre restreint de pièces, cela veut aussi dire qu’il faut être présente dès l’ouverture de la vente pour avoir sa target ! Pour moi, Instagram est le nouveau bouche-à-oreille. Un lien direct avec le public pour communiquer sur les nouveautés,les événements ou recueillir les avis sur mes dernières créations. J’utilise également Facebook pour communiquer sur la marque, tandis que Snapchat me permet d’en dévoiler les coulisses.
« Instagram est le nouveau bouche-à-oreille »
Vous reste-t-il du temps pour prendre soin de vous ?
Oui, mais tout est chronométré ! Le matin, j’applique un sérum et une crème sur le visage. J’ajoute un peu de poudre bonne mine et du mascara, voire du rouge à lèvres si j’ai un rendez-vous.
Enfin, quels sont vos projets pour Mademoiselle D ?
Beaucoup de mes clientes dans le monde entier aimeraient avoir un petit corner Mademoiselle D près de chez elle, nous cherchons donc maintenant des distributeurs en France mais aussi en Europe.
Barbe ultra-résistance, moustache XXL ou chevelure interminable… Zoom sur les records du monde les plus surprenants sur les cheveux, tous enregistrés dans le livre Guinness World Records. Vous verrez, ils ont de quoi vous étonner !
Les cheveux les plus longs du monde : 17 mètres
Asha Mandela est une véritable Raiponce, en version rasta ! Cette américaine de 47 ans porte des dreadlocks, qui mesurent plus de 17 mètres de long et pèsent environ 19 kilos. Très concernée par la santé et la beauté de sa chevelure, elle utilise entre 2 et 3 bouteilles de shampoing par semaine afin de l’entretenir. Celle qui considère ses cheveux comme » ses bébés « , n’envisage pas une seconde de couper le moindre centimètre.
Le poids le plus lourd soulevé par une barbe : 63,80 kilos
Le lituanien Antanas Kontrimas a battu ce record lors de l’émission » Rekorlar Dünyasi » en Turquie. Avec sa longue barbe parfaitement entretenue, il a soulevé une femme pesant 63,80 kg. Ce qui en fait officiellement l’homme à la barbe la plus résistante au monde !
La crête iroquoise la plus haute du monde : 1,15 mètre
Ce record est détenu par Kazuhiro Watanabe, un Américain d’origine japonaise. Il arbore la crête la plus haute du monde, puisque cette dernière mesure 1,15 mètre. Ce styliste new-yorkais, âgé de 40 ans, fait pousser ses cheveux depuis 15 ans. Fier de sa crête XXL, il explique qu’il lui faut désormais deux heures, un pot de gel et trois bombes de laque pour la faire tenir en l’air.
La plus longue moustache du monde : 4,30 mètres
L’Indien Ram Singh Chauhan ne s’est pas rasé la moustache depuis 1970. Aujourd’hui, celle-ci mesure plus de 4,30 mètres de long. Chaque jour, il tient à chouchouter ses précieuses longueurs en les nettoyant et en les brossant durant deux bonnes heures ! Grâce à ce record, Ram jouit d’une notoriété qui lui a permis de tourner dans de nombreux films à Bollywood.
Jean Louis David, c’est plus de 50 ans d’expertise capillaire. Une expertise mise à la disposition des internautes avides de conseils et de tendances sur leur chaine officielle You Tube !
Une fois n’est pas coutume, les duos coiffeurs/coiffeuses et client(e)s sont mis à l’honneur. Leur complicité est immortalisée à travers des interviews et des séquences inédites. Les modèles se dévoilent et les coiffeurs livrent leurs astuces et conseils. Des duos qui jouent le jeu sans pour autant se prendre au sérieux, c’est aussi ça l’état d’esprit Jean Louis David.
Vous pouvez également y découvrir les coulisses de ces rencontres grâce au making-of et casting. N’hésitez pas à laisser vos commentaires ou à liker les vidéos pour faire part de vos impressions !
Découvrez ici nos vidéos tutoriels de coiffure!