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des tendances-articlePellicules et démangeaisons mènent la vie dure à votre chevelure ? Pour vous en débarrasser, suivez nos bons conseils antipelliculaires.
Définissez votre type de pellicules
C’est primordial pour savoir comment les traiter. Les pellicules sèches sont les plus courantes, ce sont celles qui tombent en fine neige blanche sur vos épaules. Elles sont dues à :
– une prolifération anormale du pityriasis, un champignon naturellement présent sur votre peau.
– un cuir chevelu trop sec dont la peau « craquelle » à cause du manque de sébum.
– l’utilisation de certains produits anti-chute ou coiffants : leurs formules riches en alcool agressent le cuir chevelu qui finit par peler. Dans ce cas, il suffit d’espacer les utilisations ou de changer de soin.
Vous avez un doute ? Demandez l’avis d’un dermatologue.
Si vos pellicules restent accrochées à la peau de votre crâne et forment des squames (des plaques) légèrement jaunes : alors elles sont dites « grasses » et le pityriasis en est responsable.
Adaptez vos soins antipelliculaires
Pour dire adieu à vos pellicules sèches, optez pour un shampooing à base d’huile de cade (arbre) ou de zinc. Ces actifs restaurent l’équilibre du cuir chevelu en douceur grâce à leurs propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. S’il est trop sec, les soins antipelliculaires traditionnels n’y feront rien : il faut en prendre soin et surtout l’hydrater ! En revanche, si vos pellicules sont grasses, misez sur un shampooing à l’acide salicylique pour l’exfolier et le purifier.
Limitez les shampooings
Il est préférable de ne pas laver vos cheveux tous les jours. Même si vous éliminez les pellicules au quotidien, vous stimulez en parallèle le cuir chevelu et la régénération cellulaire. Résultat : vous aggravez votre problème. Faites deux à trois shampooings par semaine et laissez-les poser quelques minutes afin que les actifs agissent.
Bon à savoir : un gommage du cuir chevelu une fois par mois est un bon allié dans la lutte contre les pellicules.
Pellicules et démangeaisons mènent la vie dure à votre chevelure ? Pour vous en débarrasser, suivez nos bons conseils antipelliculaires.
Définissez votre type de pellicules
C’est primordial pour savoir comment les traiter. Les pellicules sèches sont les plus courantes, ce sont celles qui tombent en fine neige blanche sur vos épaules. Elles sont dues à :
– une prolifération anormale du pityriasis, un champignon naturellement présent sur votre peau.
– un cuir chevelu trop sec dont la peau « craquelle » à cause du manque de sébum.
– l’utilisation de certains produits anti-chute ou coiffants : leurs formules riches en alcool agressent le cuir chevelu qui finit par peler. Dans ce cas, il suffit d’espacer les utilisations ou de changer de soin.
Vous avez un doute ? Demandez l’avis d’un dermatologue.
Si vos pellicules restent accrochées à la peau de votre crâne et forment des squames (des plaques) légèrement jaunes : alors elles sont dites « grasses » et le pityriasis en est responsable.
Adaptez vos soins antipelliculaires
Pour dire adieu à vos pellicules sèches, optez pour un shampooing à base d’huile de cade (arbre) ou de zinc. Ces actifs restaurent l’équilibre du cuir chevelu en douceur grâce à leurs propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. S’il est trop sec, les soins antipelliculaires traditionnels n’y feront rien : il faut en prendre soin et surtout l’hydrater ! En revanche, si vos pellicules sont grasses, misez sur un shampooing à l’acide salicylique pour l’exfolier et le purifier.
Limitez les shampooings
Il est préférable de ne pas laver vos cheveux tous les jours. Même si vous éliminez les pellicules au quotidien, vous stimulez en parallèle le cuir chevelu et la régénération cellulaire. Résultat : vous aggravez votre problème. Faites deux à trois shampooings par semaine et laissez-les poser quelques minutes afin que les actifs agissent.
Bon à savoir : un gommage du cuir chevelu une fois par mois est un bon allié dans la lutte contre les pellicules.
S’il y a bien un accessoire de coiffage qui n’en finit pas de se réinventer, c’est le bigoudi. Tantôt décrié et remisé au rang d’antiquités, tantôt de retour sur le devant de la scène dans de nouveaux habits, il a gagné ses galons de meilleur faiseur de boucles. Mais connaissez-vous son histoire ?
Dès l’Antiquité, les boucles sont sur toutes les têtes couronnées car elles sont symbole de richesse et de jeunesse. Les femmes utilisent alors des tiges de roseau chauffées sur la cendre en guise de fer à friser pour se faire des cascades d’ondulations. Cet engouement pour les cheveux bouclés a traversé le temps comme en témoigne le Roi Soleil lui-même. Comme tous n’ont pas la chance d’avoir des chevelures fournies et bouclées, les nobles arborent très vite des postiches préalablement frisés au four grâce à l’ancêtre de notre bigoudi actuel : des rouleaux en terre cuite ou en bois appelés bilboquets.
Les premiers bigoudis
C’est au XIXème siècle que les bigoudis, tels que nous les connaissons, font leur apparition avec le retour aux cheveux naturels qui doivent s’afficher avec de belles boucles soyeuses pour répondre aux exigences de la mode. Il s’agit alors de rouleaux en métal (généralement du plomb) recouverts d’un tissu et de cuir, sur lesquels elles enroulent leurs longueurs. Elles les portent la nuit pour mettre en forme leurs cheveux et avoir de belles boucles au réveil. Ils sont très vite concurrencés par le « fer à friser », bien plus facile à utiliser, de Marcel Grateau. Une invention majeure datant de 1872, constituée de pinces en forme de tube qui sont chauffées à l’aide d’une machine pour boucler les cheveux.
Ça chauffe pour les bigoudis
Le bras de fer entre bigoudis et fer à friser continue avec l’innovation du coiffeur allemand Karl Nessler : les bigoudis chauffants, destinés à réaliser les premières ondulations permanentes. Les mèches sont enduites de soude caustique avant d’être enroulées autour des bigoudis. Pour figer les boucles sur les longueurs, les rouleaux sont reliés à un appareil électrique par des pinces chauffantes. Quelques essais malheureux ne dissuaderont pas les coquettes de l’essayer.
Les années 20 sont folles des bigoudis !
Après la Première Guerre Mondiale, c’est la révolution capillaire pour les femmes. Elles coupent court leurs longueurs et adoptent des carrés pas plus bas que le lobe des oreilles. Pour créer de jolies ondulations durables sur leurs courtes mèches, elles passent des heures chez le coiffeur à se faire poser des bigoudis puis à patienter sous un casque chauffant, plus confortable que l’ancienne machine !
Le secret de Marylin
Star glamour des années 50, Marylin Monroe fait rêver les hommes mais aussi les femmes avec son carré bouclé iconique (et son fameux blond platine hollywoodien). Une coiffure réalisée grâce à des bigoudis qui sculptent sa chevelure sur plusieurs niveaux et dessinent une vague sur sa mèche frontale pour encadrer son visage à la perfection.
Les années 80 : l’âge d’or de la permanente
Toujours influencées par les stars du grand écran comme Olivia Newton dans « Grease », les femmes craquent pour la permanente et arborent des boucles serrées qui leur font une chevelure XXL. C’est la folie des bigoudis !
Les bigoudis traditionnels
Avec cette passion pour les boucles, les modèles s’adaptent à une utilisation à la maison. Les bigoudis se muent en rouleaux en tulle autour desquels les femmes enroulent leurs mèches de cheveux humides qu’elles fixent à l’aide d’une pince, puis les laissent sécher à l’air libre ou au sèche-cheveux. Pour varier le diamètre et l’allure du rendu, les bigoudis se se déclinent en différentes tailles et matières. Certains, très souples, en mousse, sont spécialement conçus pour la nuit. Pas super sexy, mais efficace. D’autres modèles « à scratch » sont recouverts d’une tissu velcro pour faciliter la pose…
Les bigoudis nouvelle génération
Pour séduire ces femmes en quête de boucles tendance, le bigoudi change encore de look et grande nouveauté : prend soin des cheveux. En céramique, préchauffés avant ma mise en place, ils diffusent la chaleur d’une façon douce et homogène, d’autres permettent de réaliser de belles boucles sans chaleur :
– Les flexi-rollers sont des tiges en mousse très souples que l’on fixe en rabattant les extrémités pour dessiner des boucles régulières dans la chevelure.
– Les « bigoudis magiques » sont des tubes souples torsadés dans lesquelles on introduit, à l’aide d’une tige rigide munie d’un crochet,les mèches humides afin qu’elles prennent leurs formes ondulées en séchant.
Avec le grand retour de la permanente ce printemps-été, pas de doute, cela roule pour le bigoudi pour encore un bon bout de temps !
S’il y a bien un accessoire de coiffage qui n’en finit pas de se réinventer, c’est le bigoudi. Tantôt décrié et remisé au rang d’antiquités, tantôt de retour sur le devant de la scène dans de nouveaux habits, il a gagné ses galons de meilleur faiseur de boucles. Mais connaissez-vous son histoire ?
Dès l’Antiquité, les boucles sont sur toutes les têtes couronnées car elles sont symbole de richesse et de jeunesse. Les femmes utilisent alors des tiges de roseau chauffées sur la cendre en guise de fer à friser pour se faire des cascades d’ondulations. Cet engouement pour les cheveux bouclés a traversé le temps comme en témoigne le Roi Soleil lui-même. Comme tous n’ont pas la chance d’avoir des chevelures fournies et bouclées, les nobles arborent très vite des postiches préalablement frisés au four grâce à l’ancêtre de notre bigoudi actuel : des rouleaux en terre cuite ou en bois appelés bilboquets.
Les premiers bigoudis
C’est au XIXème siècle que les bigoudis, tels que nous les connaissons, font leur apparition avec le retour aux cheveux naturels qui doivent s’afficher avec de belles boucles soyeuses pour répondre aux exigences de la mode. Il s’agit alors de rouleaux en métal (généralement du plomb) recouverts d’un tissu et de cuir, sur lesquels elles enroulent leurs longueurs. Elles les portent la nuit pour mettre en forme leurs cheveux et avoir de belles boucles au réveil. Ils sont très vite concurrencés par le « fer à friser », bien plus facile à utiliser, de Marcel Grateau. Une invention majeure datant de 1872, constituée de pinces en forme de tube qui sont chauffées à l’aide d’une machine pour boucler les cheveux.
Ça chauffe pour les bigoudis
Le bras de fer entre bigoudis et fer à friser continue avec l’innovation du coiffeur allemand Karl Nessler : les bigoudis chauffants, destinés à réaliser les premières ondulations permanentes. Les mèches sont enduites de soude caustique avant d’être enroulées autour des bigoudis. Pour figer les boucles sur les longueurs, les rouleaux sont reliés à un appareil électrique par des pinces chauffantes. Quelques essais malheureux ne dissuaderont pas les coquettes de l’essayer.
Les années 20 sont folles des bigoudis !
Après la Première Guerre Mondiale, c’est la révolution capillaire pour les femmes. Elles coupent court leurs longueurs et adoptent des carrés pas plus bas que le lobe des oreilles. Pour créer de jolies ondulations durables sur leurs courtes mèches, elles passent des heures chez le coiffeur à se faire poser des bigoudis puis à patienter sous un casque chauffant, plus confortable que l’ancienne machine !
Le secret de Marylin
Star glamour des années 50, Marylin Monroe fait rêver les hommes mais aussi les femmes avec son carré bouclé iconique (et son fameux blond platine hollywoodien). Une coiffure réalisée grâce à des bigoudis qui sculptent sa chevelure sur plusieurs niveaux et dessinent une vague sur sa mèche frontale pour encadrer son visage à la perfection.
Les années 80 : l’âge d’or de la permanente
Toujours influencées par les stars du grand écran comme Olivia Newton dans « Grease », les femmes craquent pour la permanente et arborent des boucles serrées qui leur font une chevelure XXL. C’est la folie des bigoudis !
Les bigoudis traditionnels
Avec cette passion pour les boucles, les modèles s’adaptent à une utilisation à la maison. Les bigoudis se muent en rouleaux en tulle autour desquels les femmes enroulent leurs mèches de cheveux humides qu’elles fixent à l’aide d’une pince, puis les laissent sécher à l’air libre ou au sèche-cheveux. Pour varier le diamètre et l’allure du rendu, les bigoudis se se déclinent en différentes tailles et matières. Certains, très souples, en mousse, sont spécialement conçus pour la nuit. Pas super sexy, mais efficace. D’autres modèles « à scratch » sont recouverts d’une tissu velcro pour faciliter la pose…
Les bigoudis nouvelle génération
Pour séduire ces femmes en quête de boucles tendance, le bigoudi change encore de look et grande nouveauté : prend soin des cheveux. En céramique, préchauffés avant ma mise en place, ils diffusent la chaleur d’une façon douce et homogène, d’autres permettent de réaliser de belles boucles sans chaleur :
– Les flexi-rollers sont des tiges en mousse très souples que l’on fixe en rabattant les extrémités pour dessiner des boucles régulières dans la chevelure.
– Les « bigoudis magiques » sont des tubes souples torsadés dans lesquelles on introduit, à l’aide d’une tige rigide munie d’un crochet,les mèches humides afin qu’elles prennent leurs formes ondulées en séchant.
Avec le grand retour de la permanente ce printemps-été, pas de doute, cela roule pour le bigoudi pour encore un bon bout de temps !
Adieu aux cheveux raplapla ! Soins, coupe et coiffure : découvrez toutes les astuces pour donner du volume à votre chevelure.
Obtenir de la souplesse et de la légèreté se prépare dès le lavage avec des produits adaptés à votre type de cheveux. Alternez shampoing et après-shampoing densifiants pour donner du corps à vos cheveux fins. S’ils regraissent vite, optez pour une gamme purifiante qui vous débarrassera des excès de sébum en racines, fatals au volume de votre chevelure.
Mettre sa chevelure en relief
Bannissez les coupes extrêmes : l’ultra court supprime la matière capillaire et les longueurs XXL induisent par leur poids un effet raplapla. L’idéal est une coupe déstructurée avec les cheveux assez courts sur les côtés et une certaine longueur sur le dessus de la tête pour créer du volume. Une manière maligne de camoufler le manque de densité en quelques coups de ciseaux. Le coiffeur veillera juste à réaliser un dégradé subtil pour amplifier le volume sans appauvrir la matière.
Donner de la texture aux cheveux
Pour créer l’illusion d’un volume naturel et masquer, le cas échéant, un manque de densité capillaire, il faut créer du mouvement. Pour cela, fixez votre coiffure à l’aide d’un produit texturisant qui épaissit la fibre capillaire sans figer les mèches comme la Density Paste de Jean Louis David, une pâte de coiffage sculptante. Une petite quantité de produit suffit à booster la masse capillaire.
Bon à savoir : massez votre cuir chevelu brièvement avant le coiffage pour décoller vos racines, vous gagnez en volume en un clin d’oeil.
Adieu aux cheveux raplapla ! Soins, coupe et coiffure : découvrez toutes les astuces pour donner du volume à votre chevelure.
Obtenir de la souplesse et de la légèreté se prépare dès le lavage avec des produits adaptés à votre type de cheveux. Alternez shampoing et après-shampoing densifiants pour donner du corps à vos cheveux fins. S’ils regraissent vite, optez pour une gamme purifiante qui vous débarrassera des excès de sébum en racines, fatals au volume de votre chevelure.
Mettre sa chevelure en relief
Bannissez les coupes extrêmes : l’ultra court supprime la matière capillaire et les longueurs XXL induisent par leur poids un effet raplapla. L’idéal est une coupe déstructurée avec les cheveux assez courts sur les côtés et une certaine longueur sur le dessus de la tête pour créer du volume. Une manière maligne de camoufler le manque de densité en quelques coups de ciseaux. Le coiffeur veillera juste à réaliser un dégradé subtil pour amplifier le volume sans appauvrir la matière.
Donner de la texture aux cheveux
Pour créer l’illusion d’un volume naturel et masquer, le cas échéant, un manque de densité capillaire, il faut créer du mouvement. Pour cela, fixez votre coiffure à l’aide d’un produit texturisant qui épaissit la fibre capillaire sans figer les mèches comme la Density Paste de Jean Louis David, une pâte de coiffage sculptante. Une petite quantité de produit suffit à booster la masse capillaire.
Bon à savoir : massez votre cuir chevelu brièvement avant le coiffage pour décoller vos racines, vous gagnez en volume en un clin d’oeil.
Classique qui se réinvente à l’envi, le chignon se prête très bien aux occasions spéciales, que ce soit une cérémonie formelle ou une soirée festive. Voici trois idées de coiffure pour vous inspirer.
Le chignon façon crête
Original, ce chignon bouclé est une alternative charmante au chignon banane. Pour l’adopter, tracez une raie de côté afin de donner un mouvement à la coiffure puis ramenez vos longueurs dans la nuque. Plaquez vos cheveux sur le devant de la coiffure et attachez votre chevelure en une queue-de-cheval mi-haute. Réalisez ensuite votre chignon mèche à mèche. Prenez une section de cheveux dans la queue-de-cheval et formez une large boucle avec la longueur. Fixez-la à l’aide d’épingles plates contre le cuir chevelu. Lorsque vos cheveux sont très longs, réitérez le geste sur la même mèche au besoin. Poursuivez avec le reste de la chevelure en répartissant les boucles harmonieusement afin que la coiffure soit équilibrée. Et la boucle est bouclée !
Le chignon flou
Facile à réaliser dès lors que vos cheveux sont mi-longs, le chignon flou est un incontournable qui ne nécessite pas beaucoup de technique. Toujours de bon ton, il se décline en chignon bun mais portez-le en bas de la nuque pour une allure plus chic. Pour vous coiffer en un tour de peigne, crêpez légèrement vos cheveux en laissant deux mèches encadrer votre visage. Ramenez ensuite votre chevelure vers l’arrière en lissant les longueurs pour garder juste ce qu’il faut de volume sur le haut de la coiffure. Attachez vos mèches une à une dans la nuque avec des épingles à cheveux. Entrelacez-les de façon aléatoire en laissant quelques pointes de cheveux ressortir du chignon. Fixez par un nuage de laque.
Le bun tressé
Le bun haut perché se la joue audacieux en version XL. Il prend des airs de fête grâce à une jolie tresse qui met en valeur vos longueurs. Pour réussir cette coiffure, ramenez vos cheveux vers l’arrière en plaquant bien vos mèches. Si vous avez une frange, portez-la légèrement bombée pour habiller le front. Attachez votre chevelure en une queue-de-cheval haute. Séparez-la en deux sections égales de cheveux, puis insérez l’une d’elles dans un bun en mousse et faites revenir vos longueurs dessus pour recouvrir l’accessoire. Il donne du volume et sert de base à la coiffure. Camouflez vos pointes en les fixant à la base du bun avec des épingles. Puis, réalisez une tresse simple à trois brins avec la section restante. Desserrez ensuite un peu les branches pour donner de l’ampleur à la tresse et enroulez la natte à la base du bun pour le décorer. Fixez simplement avec des épingles plates : vous voilà fin prête !
Classique qui se réinvente à l’envi, le chignon se prête très bien aux occasions spéciales, que ce soit une cérémonie formelle ou une soirée festive. Voici trois idées de coiffure pour vous inspirer.
Le chignon façon crête
Original, ce chignon bouclé est une alternative charmante au chignon banane. Pour l’adopter, tracez une raie de côté afin de donner un mouvement à la coiffure puis ramenez vos longueurs dans la nuque. Plaquez vos cheveux sur le devant de la coiffure et attachez votre chevelure en une queue-de-cheval mi-haute. Réalisez ensuite votre chignon mèche à mèche. Prenez une section de cheveux dans la queue-de-cheval et formez une large boucle avec la longueur. Fixez-la à l’aide d’épingles plates contre le cuir chevelu. Lorsque vos cheveux sont très longs, réitérez le geste sur la même mèche au besoin. Poursuivez avec le reste de la chevelure en répartissant les boucles harmonieusement afin que la coiffure soit équilibrée. Et la boucle est bouclée !
Le chignon flou
Facile à réaliser dès lors que vos cheveux sont mi-longs, le chignon flou est un incontournable qui ne nécessite pas beaucoup de technique. Toujours de bon ton, il se décline en chignon bun mais portez-le en bas de la nuque pour une allure plus chic. Pour vous coiffer en un tour de peigne, crêpez légèrement vos cheveux en laissant deux mèches encadrer votre visage. Ramenez ensuite votre chevelure vers l’arrière en lissant les longueurs pour garder juste ce qu’il faut de volume sur le haut de la coiffure. Attachez vos mèches une à une dans la nuque avec des épingles à cheveux. Entrelacez-les de façon aléatoire en laissant quelques pointes de cheveux ressortir du chignon. Fixez par un nuage de laque.
Le bun tressé
Le bun haut perché se la joue audacieux en version XL. Il prend des airs de fête grâce à une jolie tresse qui met en valeur vos longueurs. Pour réussir cette coiffure, ramenez vos cheveux vers l’arrière en plaquant bien vos mèches. Si vous avez une frange, portez-la légèrement bombée pour habiller le front. Attachez votre chevelure en une queue-de-cheval haute. Séparez-la en deux sections égales de cheveux, puis insérez l’une d’elles dans un bun en mousse et faites revenir vos longueurs dessus pour recouvrir l’accessoire. Il donne du volume et sert de base à la coiffure. Camouflez vos pointes en les fixant à la base du bun avec des épingles. Puis, réalisez une tresse simple à trois brins avec la section restante. Desserrez ensuite un peu les branches pour donner de l’ampleur à la tresse et enroulez la natte à la base du bun pour le décorer. Fixez simplement avec des épingles plates : vous voilà fin prête !
Mèches flashy, plumes, strass, tatouage capillaire…Osez le décalé pour célébrer le carnaval. Voici six looks repérés sur Instagram pour laisser libre cours à vos envies de changement radical…ou éphémère !
Explosion pastel supplément paillettes
Laissez s’exprimer votre côté girly fan de licorne avec ce mix de strass et de longueurs pastel. Des mèches roses, parme et violettes qui nécessitent le doigté d’un coloriste pour arriver à ce résultat. Un style osé…peut-être trop ? Pour obtenir ce look sans vous engager durablement, limitez-vous aux sprays colorés dont le produit s’élimine au prochain shampoing. Le rendu sera certes moins intense (en particulier sur les brunes) mais éphémère. Un dernier conseil, limitez les strass aux racines, vous nous remercierez au moment de les enlever.
Hippie chic
Misez sur un style hippie avec des tresses plaquées sur le côté et quelques plumes fixées à un mini bun. Carnaval oblige, osez la couleur, quitte à ajouter de fausses mèches bleues, vertes ou jaunes pour davantage d’effets.
Punk girly
Vous êtes audacieuse ? Tentez le tatouage capillaire et scintillant. La technique étant complexe (rasage) et longue (pause des paillettes), adressez-vous à un expert…et armez-vous de patience. Si vous n’assumez pas au travail, détachez vos cheveux, pour garder votre touche punk secrète.
Flou flashy
Six couleurs différentes, des tresses, des torsades et un effet bouffant, voilà une coiffure qui se remarque. Là encore, le doigté d’un expert est indispensable pour maîtriser le dosage des pigments et l’application de la couleur. Si vous doutez d’assumer ce résultat au quotidien, faites plus simple : des foulards torsadés ou tressés donneront autant d’effet.
Tressage XXL
Wahou ! Inutile de colorer vos mèches ou d’y ajouter des paillettes, ainsi tressés vos cheveux (vous pouvez même jouer avec des faux) se remarqueront tout de suite. Il ne reste plus qu’à négocier la place d’honneur sur l’un des chars. Un tel look ça mérite d’être exposé !
Formule complète
Messieurs, tentez le look « ara bleu » en combinant plusieurs savoir-faire : le rasage, la coloration et le tressage. Et quitte à se donner autant de mal, n’hésitez pas à faire la tournée des villes. Nice, Dunkerque, Rio, l’Inde… n’attendent que vous !
Mèches flashy, plumes, strass, tatouage capillaire…Osez le décalé pour célébrer le carnaval. Voici six looks repérés sur Instagram pour laisser libre cours à vos envies de changement radical…ou éphémère !
Explosion pastel supplément paillettes
Laissez s’exprimer votre côté girly fan de licorne avec ce mix de strass et de longueurs pastel. Des mèches roses, parme et violettes qui nécessitent le doigté d’un coloriste pour arriver à ce résultat. Un style osé…peut-être trop ? Pour obtenir ce look sans vous engager durablement, limitez-vous aux sprays colorés dont le produit s’élimine au prochain shampoing. Le rendu sera certes moins intense (en particulier sur les brunes) mais éphémère. Un dernier conseil, limitez les strass aux racines, vous nous remercierez au moment de les enlever.
Hippie chic
Misez sur un style hippie avec des tresses plaquées sur le côté et quelques plumes fixées à un mini bun. Carnaval oblige, osez la couleur, quitte à ajouter de fausses mèches bleues, vertes ou jaunes pour davantage d’effets.
Punk girly
Vous êtes audacieuse ? Tentez le tatouage capillaire et scintillant. La technique étant complexe (rasage) et longue (pause des paillettes), adressez-vous à un expert…et armez-vous de patience. Si vous n’assumez pas au travail, détachez vos cheveux, pour garder votre touche punk secrète.
Flou flashy
Six couleurs différentes, des tresses, des torsades et un effet bouffant, voilà une coiffure qui se remarque. Là encore, le doigté d’un expert est indispensable pour maîtriser le dosage des pigments et l’application de la couleur. Si vous doutez d’assumer ce résultat au quotidien, faites plus simple : des foulards torsadés ou tressés donneront autant d’effet.
Tressage XXL
Wahou ! Inutile de colorer vos mèches ou d’y ajouter des paillettes, ainsi tressés vos cheveux (vous pouvez même jouer avec des faux) se remarqueront tout de suite. Il ne reste plus qu’à négocier la place d’honneur sur l’un des chars. Un tel look ça mérite d’être exposé !
Formule complète
Messieurs, tentez le look « ara bleu » en combinant plusieurs savoir-faire : le rasage, la coloration et le tressage. Et quitte à se donner autant de mal, n’hésitez pas à faire la tournée des villes. Nice, Dunkerque, Rio, l’Inde… n’attendent que vous !
Toute fashionista avertie le sait, il faut toujours avoir ces 4 pinces et épingles dans sa salle de bains pour faire tenir sa coiffure. Mais il y a quelques astuces à savoir pour bien les choisir et les utiliser de manière optimale.
L’épingle à chignon
Incontournable, c’est l’épingle qui fixe vos chignons et vos tresses sur le côté. Elle est dotée de deux pics lisses ou ondulés pour bien accrocher les mèches. Sa forme en U les attrape pour les piquer dans un bun en mousse ou directement dans la chevelure.
Comment la choisir ?
Optez toujours pour des épingles perlées (avec un embout plastique rond), elles sont moins douloureuses pour le cuir chevelu et n’abîment pas la fibre capillaire à long terme. Ensuite, leur taille dépend de la nature de votre chevelure : choisissez-les longues afin de retenir le poids de vos cheveux épais et courtes s’ils sont fins ou fraîchement lavés (et donc très glissants). Le petit format idéal pour des finitions invisibles leur vaut le surnom d’épingles neige ou épingles neigeuses.
Conseil. Pour faire tenir votre épingle à chignon, crochetez une mèche et allez dans le sens opposé à celle-ci afin que vos cheveux tiennent à la racine. C’est ce mouvement de retour qui assure la solidité de votre coiffure.
L’épingle plate
Autre basique de la coiffure, l’épingle plate dite kirby a deux formes : celle qui a deux côtés plats et celle qui a un côté plat et l’autre dentelé pour mieux agripper les cheveux lisses. Placez alors le côté ondulé sous la mèche pour un rendu plaqué impeccable. Elle discipline cheveux rebelles ou frange et fait office de points de fixation pour vos coiffures élaborées.
Comment la choisir ?
Pour une attache discrète, accordez sa couleur à celle de votre chevelure. En revanche, préférez-la colorée si vous cédez à la tendance bobby pins (leur nom anglais), à savoir l’utiliser comme un ornement dans les coiffures. Côté taille, la grande est la plus utilisée. Mais la petite convient mieux aux cheveux fins et courts.
Conseil. Croisez-en deux pour renforcer la fixation.
La pince crabe
Elle doit son nom aux dents qui agrippent la chevelure pour la retenir dans le corps de la pince. Ultra pratique, elle s’adapte à toutes les longueurs et les épaisseurs de cheveux grâce à ses différentes tailles et son nombre de dents variable.
Comment la choisir ?
Le modèle miniature, coloré ou pailleté, se porte en plusieurs exemplaires et en accessoires sur une tresse ou un chignon bohème. Si vous avez les cheveux épais, optez pour un modèle XXL avec des dents larges. En revanche, la pince crabe moyenne s’adapte aux cheveux fins quand ses pics sont fins et resserrés. Pour fixer une mèche ou retenir votre frange vers l’arrière, choisissez un petit modèle.
Conseil. Une pression suffit pour bloquer la totalité de la masse capillaire et obtenir un chignon banane sans épingle.
La pince à bec
Elle est aussi appelée pince pélican car sa forme ressemble au long bec de cet oiseau. Idéale pour vous coiffer en un clip ! Facile à utiliser, elle rassemble vos longueurs sans difficulté en une queue-de-cheval lâche ou un chignon banane chic.
Comment la choisir ?
Destiné aux cheveux mi-longs à longs, le modèle standard (environ 10 cm) retient l’ensemble de la chevelure entre ses deux branches. Plus rare, sa version miniature (3 cm) conviendra à vos cheveux courts pour maintenir les petites mèches. Elle se porte aussi en accessoire décoratif, sur un chignon rétro par exemple.
Conseil. Lorsque ses branches sont dotées de petites dents pour agripper les cheveux indisciplinés, elle se nomme pince crocodile pour sa similitude avec la mâchoire de l’animal.